vendredi 11 juin 2010

Qui dit jeune, ne dit pas forcement reseaux sociaux !



Les réseaux sociaux : un miroir aux alouettes pour la BNP Paribas ?


L'agence est encore privilégiée


Car, pour cette génération numérique, le rapport avec le conseiller reste primordial. C'est d'abord à lui qu'elle demande des avis sur les placements, avant Internet et même, après 25 ans, avant les parents. Elle le rencontre en moyenne 2,6 fois par an. Surtout, alors que les jeunes manient la souris mieux que personne, ils continuent à privilégier l'agence. Pour leurs opérations courantes, elle constitue le premier canal utilisé, même si c'est souvent de manière occasionnelle. " Ils ne veulent surtout pas d'agence entièrement virtuelle et sont plus nombreux que la moyenne à penser qu'Internet ne peut pas devenir le seul moyen d'effectuer des opérations ", constate Philippe Gardes.


La Toile affiche aussi de bons scores chez eux. Habitué à jongler entre les propositions des marques, ce public veut tout simplement avoir le choix en permanence sur la manière d'entrer en contact. Le discours sur le Web mériterait pourtant d'être revu par le monde bancaire. Trois jeunes sur quatre ne connaissent pas la rubrique qui leur est dédiée sur le site de leur établissement. Et ce sont les plus juniors qui la consultent. " Les professionnels auraient tout intérêt à repenser ces espaces en fonction des tranches d'âge pour en faire de vrais canaux de vente ", estime Philippe Derambure.



En revanche, ces accros au téléphone mobile ne sont encore que 5 % à avoir recours à leur précieux portable pour gérer leurs comptes. Mais beaucoup n'ont pas accès à des services bancaires via leur appareil.


Etudes TNS SOfres



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